À peine l’ardoise du toit enlevé et voilà un, puis deux et bientôt une centaine de guêpes qui virevoltent autour de l’exterminateur. Bien protégé par sa combinaison qui lui donne un air d’astronaute, le quarantenaire s’efforce de détruire le nid qui s’est construit juste au-dessus de la chambre d’un jeune homme de 15 ans. S’il est pendant la semaine pompier à la caserne de Bruxelles, il ne s’agit pas du sapeur qui intervient ce lundi, mais le travailleur indépendant.
Destruction nid de guêpes : un business qui fleurit
